De la verdure et des pierres? Je laisse l’indice dans les mots experts de Chateaubriand (mais non, ce n’est pas Rome!)
La poésie de la ruine est poésie de ce qui a partiellement survécu à la destruction, tout en demeurant immergé dans l’absence : il faut que personne n’ait gardé l’image d’un monument intact. La ruine par excellence signale un culte déserté, un dieu négligé.